Le malaise au volant, motif courant d’admission aux urgences, conduit à orienter le patient en cardiologie ou en neurologie pour bilan étiologique. Parfois, cependant, le diagnostic semble être un endormissement au volant. Ce cas clinique permet d’illustrer l’intérêt d’introduire, dans l’arbre décisionnel de l’accidenté admis aux urgences, une branche « pathologies du sommeil ».
