Par le biais d’une étude prospective réalisée auprès de 31 personnes atteintes d’une tumeur gliale nous avons observé la teneur de l’information reçue et le vécu de l’annonce concernant la contre-indication à la conduite.
Il s’avère que l’aspect juridique de la situation reste flou pour les patients. Les enjeux psychosociaux ne sont pas à négliger pour les jeunes patients dont l’espérance de vie est plus longue dans le cadre des tumeurs gliales de grade II et III.
Il nous paraît une évidence, en neuro-oncologie, de proposer des soins de support spécifiques pour les accompagner dans une situation d’incapacité à conduire.
In Bulletin du Cancer. Vol.103, n° 3, 03/2016, p. 236–240. Lydie Bergot, Solenn Cuchard, Elsa Magro, Romuald Seizeur. [accès réservé]
Liens
[1] https://www.inserr.fr/document-thematique/pathologies
[2] https://www.inserr.fr/document-thematique/aptitude-medicale-la-conduite-automobile
[3] https://www.inserr.fr/tags/conduite-automobile
[4] https://www.inserr.fr/tags/tumeur-cerebrale
[5] https://www.inserr.fr/tags/annonce
[6] https://www.inserr.fr/tags/qualite-de-vie
[7] https://www.inserr.fr/tags/ethique
[8] http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0007455115003768
[9] https://www.inserr.fr/