Pathologies : Aptitude médicale à la conduite automobile

Il n'y a aucun consensus clair à propos de patients atteints de fractures chirurgicalement traitées de la cheville droite . Ni sur leur capacité à rependre la conduite automobile; ni comment mieux évaluer leur aptitude à la conduite.

La conduite automobile est une activité exigeante en matière de sécurité, pour soi et pour les autres. Elle requiert du conducteur qu’il soit juridiquement et physiquement apte. Pour autant, cette condition n’exclut pas les personnes à mobilité réduite ou en situation de handicap de la pratique de la conduite.

L’information médicale de l’incapacité à conduire pour un patient atteint d’une tumeur cérébrale primitive et l’accompagnement qui en découle sont des tâches complexes de par l’ambiguïté éthique qu’elle suscite tant pour le patient que pour le médecin et les soignants concernant la qualité de vie, un des objectifs de prise en charge en neuro-oncologie.

La conduite automobile est une activité de la vie quotidienne complexe qui nécessite des capacités visuelles, motrices, et cognitives. Il existe au cours du vieillissement normal une baisse légère de ces capacités.

Société suisse d'endocrinologie et de diabétologie. 21/07/2015. La participation active au trafic routier motorisé ne peut se faire que si certaines conditions physiques et psychiques minimales sont remplies.

La reprise de la conduite après lésion cérébrale acquise non évolutive est un sujet souvent sensible (beaucoup de patients sont jeunes) et pour lequel l'arrêté de référence n'apporte pas beaucoup de réponses pratiques. COMETE FRANCE, la SOFMER, la FEDMER et l'IFSTTAR ont donc décidé de promouvoir la rédaction d'une recommandation de bonne pratique, qui a reçu le label de la Ha

Quel est le rôle de la distraction sur la sécurité routière? Premiers résultats de l'étude ATLAS-épidémiologie. Emmanuel Lagarde, INSERM. Comprendre les défauts d'attention des conducteurs afin de les limiter et d'éviter les accidents. Catherine Gabaude, IFSTTAR

Le nouvel arrêté définit les conditions d’organisation de l’examen théorique du permis de conduire, en particulier celles concernant les candidats maîtrisant mal la langue française, les candidats sourds ou malentendants, ou encore les candidats dysphasiques, et/ou dyslexiques et/ou dyspraxiques. Il prend également en compte les nouvelles mentions additionnelles codifiées à porter sur les permis d

En chirurgie de la main, il est fréquent d’être questionné par le patient à propos de sa capacité à conduire après une intervention chirurgicale. Le chirurgien se retrouve souvent en difficulté car les réponses sont complexes et faire la part des choses entre réalité médicolégale et croyances erronées est difficile. Cet article permet d’offrir des réponses adaptées.

Lorsque la conduite est jugée dangereuse, les médecins généralistes incitent la famille à interdire la conduite au malade, s'adressent moins souvent directement à lui, parfois l'orientent vers un spécialiste et conseillent à la famille d'écrire à la commission préfectorale du permis de conduire.